en français
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Tarif
20 euros ou 500 kč
Programme:
+soprano
A.Vivaldi (les quatre saisons), W.A.Mozart, B.Smetana ( la moldou), A.Dvořak, J.S.Bach, T.Albinoni, CH.Gounod, J.Pachelbel, M.A.Charpentir.
Tarif
20 euros ou 500 kč
Programme:
+soprano
W.A.Mozart, B.Smetana (moldou) J.S.Bach, C,Franck, A.Dvořak, T.Albinino, F.Schubert, CH.Gounod, J.Pachelbel, S.Bach, G.F.Handel, M.A.Charpentier.
Tarif
20 euros ou 500 kč
Programme:
A.VIVALDI ( les quatre saisons), W.A.Mozart, J.S.Bach, G.F.Hendel, T.Albinoni, J.N.Pachelbel, F.Schubert, B.Smetana, A.Dvořak, B.Smetana.
Pour l’opérât, le théâtre noire ou théâtre des marionnettes veuillez
venir au lieu du rendez vous (voir comment nous joindre) á 14h. vous
aurez toutes les informations nécessaires.
Je suis au service de tous les francophones qui veulent visiter prague.
Prague:
Capitale de la république tchèque, Prague est une ville qui frappe
par sa majesté et sa structure qui est caractéristique d’une capitale
médiévale .l’urbanisation moderne, s’est plutôt intégrée d’une manière
harmonieuse. Des milliers édifices, sites historique, monuments,
cathédrales est églises dont l’architecture variée entre Renaissance,
baroque, Gothique, cohabitent merveilleusement avec le Cubisme, symbole
du renouveau praguois. Et cela sans entamer l’équilibre de la ville.
Sans que ça soit un labyrinthe, une visite peu ou pas du tout
organisée, peu s’avérée aléatoire et non lucrative .tant il ya trop de
choses a voire, et a admirer. On continu a marcher et a marcher, tourner
a gauche, puis a droite, faire un tour de shopping dans les magasins de
souvenir, s’assoir dans les belles terrasses à siroter la bière, qui
est sans aucun doute de meilleur qualité! , s’arrêter devant des groupe
de music improvises, prendre des photos ca et la … au final, on a passé
une journée magnifique. Mais n’empêche, un certain nombre de pensés
nous taraudent l’esprit. Des images, déjà vues, défilent en vrac,
furtives, secrètes et évidement elles suscitent une certaine
curiosité, et parfois même un sentiment de culpabilité, et c’est la que
Prague nous tient!
Elle fut la capitale du royaume de la bohême, puis capitale du
saint-empire germano romain, et ensuite de la république tchécoslovaque
.Prague a connue une histoire mouvementée, chahutée, des moments de
gloires comme des moments de drame, et les traces on en trouve dans
chaque artères et sur chaque façade d’édifice. Et bien évidement ces
périodes ont été accompagnées par des mouvements sociaux, des
soulèvements populaires, des soubresauts politiques, la naissance de
leaders, de visionnaires et des hommes de courage qui ont laisses leur
empreinte dans l’histoire tchèque.
Et moi guide officiel de la ville de Prague, je propose de documenter ces fresques historique autour d’une balade.
Sachant que les séjours à Prague sont de courte durée, j’ai élaboré
un parcours type qui permet aux visiteurs de voire les sites et les
cartiers fort en témoignage, et de s’imprégner des faits, et des les
légendes y afférentes.
Je propose donc, une visite succincte, de 2 heures, a 6 euro par
personne, ou à 150 couronnes, de 11 heures à 13 heures, et le point de
départ est l’horloge astronomique. Et bien évidement cette dernière est
plus une qu’une œuvre architecturale, elle est une intrigue
scientifique. Donc une explication détaillée des composantes s’impose,
sans tout fois passer sous- silence le sort tragique de son inventeur le
maitre HANUS LA ROSE vers l’année 1490. Ensuite juste derrière
l’horloge en empruntant la rue de paris sur une centaine de maitre on
trouve le cartier juif, qui fut depuis le moyen âge jusqu'à 1784 l’année
durant laquelle on a accordée au peuple juif les droits sociaux et
politiques, un ghetto sous répression incessante. On découvrira dans ce
cartier nommé JOSEFOV, le vieux cimetière, la synagogue Klaus et la
synagogue Pinkas. Et au final on rentre p’tit a p’tit dans les cartiers
de la nouvelle ville, qui est malgré son nom est construite en 1348. De
la on découvre …blablabla……… (a completer rezki).
Aussi, je propose un autre circuit ,de 4 heures, de 14 heure a 18
heure, a 250 couronne par personne, ou a 10 euros ,et même un ticket de
transport est offert pour chacun, du fait que nous prendront le tram
pour s y rendre a la Coline. De la bas, une vue a coupée le souffle sur
toute la ville de Prague, un endroit idéal pour surprendre et voler a
Prague sa beauté, en guise de photos souvenir. Et à quelques encablures
de la, on rentre dans le château de Prague, et puis en redescend a MALA
TRANA (p’tit cote) un petit cartier au pied du château, fondée en
1257. Et pour y revenir de l’autre cote de la rivière Vltava, on passera
par le pont Charles. Symbole de la ville de Prague, et un endroit
incontournable pour les touristes. Construit au quatorzième siècle, il
fut le seul pont de la Vltava jusqu’en 1741.
La gastronomie tchèque
N’a rien de léger ! Mais il reste qu’il ne faut pas manquer de goûter à quelques spécialités ! En voici un aperçu: - (Svickova)– Filet de bœuf à la crème, l’un des plats tchèques symbole de la cuisine tchèque. Il s’agit de viande de bœuf rôtie accompagnée d’une sauce à base de crème. Elle est servie avec des quenelles nature (Knedliky). -Veprové koleno -Rôti de porc au chou servi avec des knedliky, considéré comme plat national tchèque. -Rizek – filet de porc, de veau ou de blanc de poulet enrobé (farine, œuf, chapelure), servi avec de la purée ou de la salade de pommes de terre. -Goulasch – plat d’origine hongroise qui s’est naturalisé en Tchéquie et figure parmi les plats les plus répandus dans l’ensemble des restaurants et des brasseries. Il est servi avec du pain ou des quenelles. -Bramboraky – galettes fines panées, préparées à partir de pâte à base de pommes de terre fraîches râpées. Elles se mangent chaudes. Elles sont servies avec de la viande ou consommées seules. On en trouve partout pour un prix modique! -Smazak –On le prépare à partir d’une tranche de fromage à pâte dure, enrobée de farine, d’œufs et de chapelure, frite et servie avec de la purée de pommes de terre ou des frites et avec de la sauce tartare. Dans les restaurants, ce plat figure parmi les plats de prix modéré. Enfin pour accompagner le tout, il faut bien sûr penser à s’hydrater !! Il ne faut pas quitter la République tchèque sans avoir goûté au préalable à l’une de ces fameuses «Piva» , parmi lesquelles vous trouverez des blondes classiques comme la Plzen ou la Staropramen, mais aussi des brunes comme la Kozel, reconnaissable entre toutes par sa mascotte : un bouc tenant un verre! L’alcool national saura éveiller les papilles des amateurs : la becherovka, qui tient son nom du fameux docteur Becher dont vous pourrez visiter le musée à Karlovy Vary, est un alcool qui titre à environ 35°, et composé de plus de 80 plantes différentes, lui donnant un parfum particulièrement agréable. On le trouve aussi sous une forme plus sucrée, comme une liqueur, fabriqué avec un mélange de miel: le Cordial Medoc Si vous n’êtes pas affamé, il y a néanmoins quelques spécialités qu’il vous faudra goûter à un moment ou à un autre: en salé, ne manquez pas le nakladané hermelin, un fromage mariné dans des épices et de l’huile d’olive, servi avec de larges tranches de pain: parfait pour accompagner une bière! Côté sucré, le medovnik est un gâteau composé de miel, impressionnant à voir mais léger à manger! Ne ratez pas non plus le zavin, forme tchèque du strudel aux pommes allemands, servi chaud avec de la chantilly, des raisins et des noix.
Jan Hus (1369-1415)
Prêtre tchèque, il prêche la réforme de l'Église un siècle avant
Luther et meurt sur le bûcher. Sa mort déclenche une révolution
religieuse, politique et sociale en Bohême et près de vingt années de
guerre.
Il décide de prêcher en langue tchèque et ses sermons rassemblent
régulièrement plusieurs milliers de personnes. Parallèlement il
entreprend de traduire l'Évangile en tchèque, ce qui contribue à fixer
la langue littéraire tchèque. Comme Luther après lui, il s'élève contre
le système ecclésiastique, prêche la réforme de l'Église et prône le
retour à la pauvreté évangélique: l'Évangile est la seule règle et tout
homme a le droit de l'étudier. Il condamne les indulgences, des
documents vendus par l’Eglise aux laïcs leur promettant l’accès au
Paradis.
Il met à mal l’autorité même du Pape et en 1414, il est ainsi cité
devant le concile de Constance et s'y rend, muni d'un sauf-conduit de
l'empereur Sigismond. Il est cependant condamné pour hérésie et brûlé
vif en 1415 et ses écrits sont brûlés.